j abandonne une partie de moi que j adapte
Ilfaut voir les autres partie pour comprendre l'histoire. 2 Pets en ma possession, je continue mon épopée à travers ce jeu étrange. Après avoir attrapé Flowa, je continuais à essayer d'ouvrir les portes, surtout qu'on est dans une école abandonné, on devrait pouvoir rentrer
Proposéepar le Théâtre national Wallonie – Bruxelles et Justine Lequette, la pièce J ’abandonne une partie de moi que j’adapte a été jouée à guichets fermés, mardi 26 avril 2022
Jabandonne une partie de moi que j’adapte J ustine Lequette fait ses premières armes théâtrales auprès du metteur en scène et auteur Antoine Lemaire et se produit dans plusieurs spectacles dont Vivre sans but transcendant est devenu possible, joué avec la compagnie Tech d’Antoine Lemaire. Après un master de droit obtenu à l’Université Droit et Santé de Lille, puis
Venezdécouvrir le spectacle" j'abandonne une partie de moi que j'adapte " du 29 septembre au 01 octobre au Théâtre des 13 vents ! À l'été 1960, le cinéaste Jean Rouch et le sociologue Edgar Morin tournent à Paris un documentaire, dans lequel une question est posée à leurs contemporains : « Êtes-vous heureux ? On y parle travail, amour, existence.
Jabandonne une partie de moi. que j'adapte Justine Lequette Création Studio Théâtre national Wallonie Bruxelles (Belgique) Voilà une pièce d'aujourd'hui, lauréate du Prix Impatience 2018, au ton apparemment léger, à la forme plaisante et très enlevée. Elle est née d'un film-documentaire de 1960, Chronique d'un été, primé au Festival de Cannes, où deux
nonton hospital playlist season 2 sub indo bioskopkeren. J’ABANDONNE UNE PARTIE DE MOI-MÊME… » LE BONHEUR, MAIS PAS A N’IMPORTE QUEL PRIX Posted by lefilduoff on 22 juillet 2018 Commentaires fermés sur J’ABANDONNE UNE PARTIE DE MOI-MÊME… » LE BONHEUR, MAIS PAS A N’IMPORTE QUEL PRIX – 22 juillet 2018 AVIGNON OFF 2018 J’abandonne une partie de moi-même que j’adapte » au théâtre des Doms à 19h30, théâtre national Wallonie Bruxelles, Justine Lequette et le group Nabla. Le bonheur, mais pas à n’importe quel prix » En 1960 le sociologue Edgar Morin et le cinéaste ethnologue Jean Rouch réalisent un … Lire la suite →
Voilà une pièce d'aujourd'hui, lauréate du Prix Impatience 2018, au ton apparemment léger, à la forme plaisante et très enlevée. Elle est née d'un film-documentaire de 1960, Chronique d'un été, primé au Festival de Cannes, où deux intellectuels, Edgar Morin et Jean Rouch, se réunissent pour comprendre le monde qui les entoure. Ils invitent des gens, les réunissent autour d'une table ; ça discute, ça boit ensemble “c'est quoi le bonheur pour toi ?”... Et si nous convoquions sur un plateau les paroles de ce film, de ces gens qui ont vécu cette période de grande explosion intellectuelle qu'ont été les années 1960-1968 ? Et si nous tentions de les mettre en écho avec des scènes de la vie quotidienne d'aujourd'hui ? La superposition de ces deux regards sur le bonheur et le travail nous raconte les changements socio-économiques survenus. Que nous reste-t-il aujourd'hui ? Comment rebondir encore ? Que pouvons- nous inventer pour refaire le monde, loin des discours politiques éculés ? À la fin, nus, dépouillés, un peu perdus, les comédiens laissent derrière eux les oripeaux d'un monde dans lequel ils semblent ne plus se reconnaître et s'en vont, unis, recommencer, autrement... Formidable. Justine Lequette Création Studio Théâtre national Wallonie Bruxelles Belgique En première partie Tourisme de la Cie franco-belge Laïka FRAGMENTS 7 est un festival de théâtre qui permet à douze compagnies d'y dévoiler une étape de travail dans des lieux engagés auprès de la jeune création. Fondé en 2013, il est organisé par La Loge, en Île-de-France puis en région. Il donne à voir ce moment particulier où le spectacle n'est pas complètement achevé, un processus de création habituellement peu visible. Cette année, Les 3T ont été sélectionnés, comme cinq autres théâtres en dehors de la région parisienne, pour faire désormais partie de ce festival national. Nous vous proposons donc, gratuitement, en première partie de J'abandonne une partie de moi que j’adapte, un extrait de Tourisme de la Cie franco-belge Laïka un projet autour de l'exotisme dans un club de vacances dans une ancienne colonie française. Conçu et écrit par Lea Tarral et Judith Longuet Marx avec quatre comédiens, ce spectacle étonnant est à la frontière entre théâtre et musique. © Hubert Amiel
jeudi 2 avril > vendredi 3 avril 2020 Théâtre du Pays de Morlaix • Morlaix Un spectacle pertinent, très inventif d’une dynamique collective formidable ! Avec un regard poétique et politique, Justine Lequette et le collectif Group Nabla interrogent le bonheur, questionnent ce qui nous rend heureux et le sens de nos vies. En 1960, Jean Rouch et Edgar Morin posaient ces questions aux passants, aux étudiants, aux ouvriers C’est quoi le bonheur pour toi ? », Comment vis-tu ? », Est-ce qu’il y a quelque chose en quoi tu crois ? », dans Chronique d’un été, première expérience de cinéma-vérité en France. La metteure en scène Justine Lequette s’empare de ce film et en restitue quelques passages marquants. Quatre comédiens s’amusent à en rejouer quelques scènes, pour faire dialoguer ces mots d’hier avec ceux de notre société contemporaine. Par des glissements entre théâtre documentaire, extraits de textes dramatiques contemporains et écriture de plateau, ils cheminent d’une époque à l’autre pour tenter de redonner à la question du bonheur toute sa beauté et sa vitalité. Lauréat du prix du public du Festival Impatience 2018
À l’issue de la représentation de la pièce J’abandonne une partie de moi que j’adapte , Les artistes nous livrent des récits qui donnent corps à leurs questionnements et nous engagent à penser. Friands de ces histoires, les philosophes se glissent dans les plis de l’œuvre, débusquent les problèmes pour mieux les explorer. PhiloStory fait une nouvelle fois le pari qu’ils auront nombre de choses à se dire à l’issue des représentations et que ce dialogue sera d’autant plus percutant qu’il pourra s’appuyer sur notre sagacité de spectateurs, aiguisée par quelques gestes d’animation. L’enjeu consistera en effet à se saisir d’un problème singulier, qui émerge de la rencontre et peut surprendre les invités eux-mêmes, pour le déplier tous ensemble. A l’expérience théâtrale, succédera alors cette autre expérience collective, orale et vivante qu’est la pratique philosophique. Nous poursuivrons ainsi le décloisonnement initié depuis 5 ans entre acteurs de la vie culturelle le Théâtre, l’Université, et maintenant l’asbl PhiloCité, entre public et intervenants, et entre pratiques artistiques et philosophiques. Les ateliers mobiliseront à chaque fois un philosophe, un artiste metteur en scène, dramaturge, comédien…, le public et un animateur, et auront lieu à l’issue des représentations. Dans le sillage des universités populaires, PhiloCité entend promouvoir la pensée et le débat critiques. Depuis une dizaine d’années, l’association travaille ainsi à diffuser dans l’espace public les outils philosophiques susceptibles de donner prise sur le monde, en proposant à des publics variés enfants, adolescents, adultes des ateliers de pratique philosophique. Ce partenariat avec le Service de Didactique de la Philosophie de l’ULiège autour du projet Philostory offre un cadre idéal à leur volonté commune de faire philosopher dans la cité, en dépassant l’opposition stricte entre philosophie théorique et pratique. Une collaboration entre le Théâtre, le Service de didactique de l’ULiège, l’asbl PhiloCité et le public. Organisation et animation Anne Herla ULiège & Guillaume Damit PhiloCité. Plus d’infos Site Internet du Théâtre de Liège
En cette rentrée 2019, le Théâtre Denise-Pelletier nous propose la pièce J’abandonne une partie de moi que j’adapte », du 28 août au 7 septembre dans la salle Fred-Barry. Derrière ce titre quelque peu énigmatique se cache une réflexion sur le bonheur, et sur la place que tient le travail dans nos vies. Des questions existentielles qui traversent les heureux se ? J’abandonne une partie de moi que j’adapte » est une pièce belge inspirée du documentaire français Chronique d’un été » 1961 d’Edgar Morin et Jean Rouch, une œuvre phare du cinéma-vérité en Europe. Dans ce film, les cinéastes ont fait le choix de poser à des passants, ouvriers, étudiants et immigrants, des questions liées au bonheur, et notamment la suivante En quoi votre bonheur est-il lié au travail ? » Une thématique qui résonne encore 60 ans plus une partie de moi que j’adapte. Crédit Hubert AmielLe bonheur vécu hier, comme aujourd’huiLa pièce s’ouvre dans les années 60, où les comédiens incarnent des personnages témoignant de la difficulté du monde ouvrier d’alors. Dans une société en plein essor industriel, les questions d’aliénation au travail, de sens de la vie et d’engagement politique, occupent les propos des protagonistes. Même si la réalité du monde du travail s’est transformée depuis, on ne peut s’empêcher de faire le parallèle avec la société hyper consommatrice que nous connaissons aujourd’ ce que fait très bien la pièce en transposant, dans une deuxième partie, ces mêmes questions en 2019. Les interrogations et la quête de sens demeurent tout aussi intenses, même si elles ont évolué. À quoi puis-je bien servir dans mon entreprise ? M’offrir le train de vie effréné de la société actuelle vaut-il réellement le coup ? Qu’a-t-on fait de nos idéaux de jeunesse arrivés à l’âge adulte ? Consommer les derniers biens à la mode mérite-t-il vraiment qu’on se tue à la tâche ?Il se dégage de ces témoignages un goût de compromis, où chacun navigue dans la vie en s’adaptant aux normes d’une société qui place le travail et le confort matériel, voire la richesse, comme des valeurs fondamentales, en négligeant notre moi authentique ». D’où le titre de la pièce, repris directement d’un témoignage marquant du film de une partie de moi que j’adapte. Crédit Hubert AmielRéfléchir oui, mais avec le sourire !Malgré le sérieux apparent du sujet, cette pièce nous entraine dans un univers joyeux et attachant. Les acteurs belges, jeunes et fougueux, passent avec brio d’un personnage à l’autre, d’une époque à l’autre, avec beaucoup de justesse, d’humour et d’émotion. On se prend au jeu aussi parce que cette quête universelle nous touche personnellement, et que la pièce tourne autour de la confidence, accentuée par l’intimité de la salle je devais choisir un moment savoureux de la pièce, je retiendrais l’irrésistible non-lettre de présentation » qu’un jeune adulte, dont tout porte à croire qu’il s’agit d’un millenial, adresse à un patron de start-up pour décliner son offre d’emploi, tournée en dérision. Un grand bravo également au discours tonitruant sur la valeur travail, déclamé à la façon d’un politicien, véritable caricature de la glorification actuelle du dépassement de soi professionnel. J’abandonne une partie de moi que j’adapte » est encore une belle trouvaille belge du Théâtre Denise-Pelletier, moi qui avais adoré La Convivialité » à l’automne dernier. Si cette question du bonheur vous parle, ou que vous souhaitez simplement passer un bon moment, courez voir cette pièce à succès du Festival OFF d’Avignon en 2018, et qui tourne encore sur les scènes belges et une partie de moi que j’adapteDu 28 août au 7 septembre 2019 Salle Fred-Barry — Théâtre Denise-Pelletier Informations et réservations
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